Äèñòàíöèîííûé òóð Îëèìïèàäû "Ëîìîíîñîâ - 2009"
Ôàêóëüòåò èíîñòðàííûõ ÿçûêîâ è ðåãèîíîâåäåíèÿ
ÌÃÓ èìåíè Ì.Â.Ëîìîíîñîâà

Íà ãëàâíóþ ñòðàíèöû îëèìïèàäû

Ôðàíöóçñêèé ÿçûê
Ïåðâûé ýòàï äèñòàíöèîííîé îëèìïèàäû.

Íàïîìèíàåì, ÷òî ýòè çàäàíèÿ ÿâëÿþòñÿ òðåíèðîâî÷íûìè, îíè ïðåäíàçíà÷åíû äëÿ îçíàêîìëåíèÿ ñ óðîâíåì ñëîæíîñòè è òåìàòèêîé îëèìïèàäû, à òàêæå äëÿ îòðàáîòêè òåõíè÷åñêèõ àñïåêòîâ ðàáîòû ñ êîìïüþòåðîì, íåîáõîäèìûõ äëÿ ó÷àñòèÿ â îëèìïèàäå.

Âûïîëíåííûå ó÷àñòíèêàìè îëèìïèàäû òðåíèðîâî÷íûå çàäàíèÿ íå ïðîâåðÿþòñÿ îðãàíèçàòîðàìè îëèìïèàäû è íå ó÷èòûâàþòñÿ ïðè ïðîâåðêå ðåàëüíûõ çàäàíèé îëèìïèàäû


Consigne: Pour chacune des phrases, indiquez la bonne réponse.
Les phrases font un texte suivi (extrait de J.-C. Grangé La Ligne
noire), c’est-à-dire sont réliées entre elles.


Tout avait pourtant commencé par l’innocence. Avec le piano. …(1)… son adolescence, Marc possédait une conviction. Son existence …(2)… réglée comme une partition. Classes musicales au lycée. Conservatoire de Paris. Récitals et enregistrements de disques. Il ne prévoyait pas …(3)… moindre fausse note …(4)… son destin. Elle survint …(5)…. …(6)… une violence foudroyante*, …(7)… printemps 1975.
*foudroyant - qui cause une émotion violente
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La disparition de d'Amico, son meilleur ami, avec qui il …(8)… ses années de lycée, fît basculer son existence dans le …(9)…. …(10)…, Marc refusa, mentalement, cet événement. Il sombra* dans le coma et ne reprit …(11)… conscience que six jours plus tard. Lorsqu'il …(12)…, il ne …(12)… de rien. Ni de la découverte du corps, ni même des …(13)… heures qui avaient précédé l'événement.
*sombrer - être englouti dans l’eau, couler
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Très …(14)…, il se rendit …(15)… compte que l'accident ne l'avait pas simplement …(16)…. Le drame avait eu un effet très grave. Sa perception de la musique avait …(17)…. Face au piano, il éprouvait maintenant un dégoût …(18)… l'empêchait, …(19)… de jouer, mais d'interpréter, à pleine sensibilité. Tous ses espoirs sombraient. Le Conservatoire, les concours, les récitals...
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Il n'avait …(20)… dit à ses parents, ni au psychiatre qui le …(21)… depuis sa perte de conscience. Il avait …(22)…, tant bien que mal, son bac musical. Mais la machine …(23)… cassée. Il ne pouvait plus espérer faire la différence avec …(24)… autres virtuoses ; apporter quoi que …(25)… à la grande histoire de l'interprétation. Par défaut, il …(26)… la littérature et …(27)… à la Sorbonne.
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Marc acheva son mémoire de maîtrise: «Apulée ou les métamorphoses du verbe», puis …(28)… le marché du travail. Il rédigea …(29)… beaucoup de soin son curriculum vitae. Il se faisait penser à un naufragé …(30)… des bouteilles à la mer. …(31)… cherchait, dans l'univers professionnel contemporain, un spécialiste des poètes néoplatoniciens? Il avait visé tous les domaines susceptibles* d'utiliser sa plume : journalisme, publicité, édition... Le miracle survint.
*susceptible - capable
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Un journal local lui …(32)… une réponse positive. Une simple gazette, installée à Nîmes, mais l'important était ailleurs : …(33)… allait le payer pour écrire! Il se dévoua* à son nouveau métier. Il se prit de passion pour le Sud de la France et découvrit que tous les clichés pittoresques sur cette région étaient …(34)…. Le soleil, les plaines d'or, les pastels de lavande ou de romarin.
*se dévouer - se consacrer entièrement
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Les années filèrent. Il progressa, gagna …(35)… sa vie. Il acquit une maison …(36)… environs de Sommières. Il avait là-bas un cercle d'amis, un cercle d'habitudes... …(37)… trente ans, il était devenu un enfant du Gard. Le drame de d'Amico lui semblait …(38)…, l'écriture …(39)… sa seule ligne de vie - et maintenant, bien sûr, il nourrissait un projet de roman. …(40)… matin, il se réveillait plus tôt pour rédiger le «chef-d'œuvre».
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