Äèñòàíöèîííûé òóð Îëèìïèàäû "Ëîìîíîñîâ - 2009"
Ôàêóëüòåò èíîñòðàííûõ ÿçûêîâ è ðåãèîíîâåäåíèÿ
ÌÃÓ èìåíè Ì.Â.Ëîìîíîñîâà

Íà ãëàâíóþ ñòðàíèöû îëèìïèàäû

Ôðàíöóçñêèé ÿçûê
Ïåðâûé ýòàï äèñòàíöèîííîé îëèìïèàäû. Äåìî-çàäàíèå.

Íàïîìèíàåì, ÷òî ýòè çàäàíèÿ ÿâëÿþòñÿ òðåíèðîâî÷íûìè, îíè ïðåäíàçíà÷åíû äëÿ îçíàêîìëåíèÿ ñ óðîâíåì ñëîæíîñòè è òåìàòèêîé îëèìïèàäû, à òàêæå äëÿ îòðàáîòêè òåõíè÷åñêèõ àñïåêòîâ ðàáîòû ñ êîìïüþòåðîì, íåîáõîäèìûõ äëÿ ó÷àñòèÿ â îëèìïèàäå.

Âûïîëíåííûå ó÷àñòíèêàìè îëèìïèàäû òðåíèðîâî÷íûå çàäàíèÿ íå ïðîâåðÿþòñÿ îðãàíèçàòîðàìè îëèìïèàäû è íå ó÷èòûâàþòñÿ ïðè ïðîâåðêå ðåàëüíûõ çàäàíèé îëèìïèàäû


Consigne: Pour chacune des phrases, indiquez la bonne réponse. Les phrases font un texte suivi (extrait de L’affaire De Brouille – enquête scientifique sur le fond d’espionnage industriel), c’est-à-dire sont réliées entre elles. Le discours direct est marqué par les guillemets. Pour chaque réponse correcte vous avez 1 point.

”Il était huit heures douze exactement, expliqua Tom à la police, quand je …(1)… mon père pour la dernière fois.”
“Il était au bout du couloir, continua-t-il, en train de se débattre avec une cravate à pois ridicule …(2)… il n’arrivait pas à faire le noeud.”
“Il …(3)… porte jamais, ajouta-t-il, mais cet après-midi-là, il avait un rendez-vous.”
La porte de la cuisine …(4)… ouverte, ajouta-t-il encore, et de là, je pouvais voir l’horloge .”
Ce détail n’avait pas grande importance, mais le lieutenant Archambault le …(5)…. quand même. Huit heures douze.
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“C’est exactement l’heure à laquelle je …(6)… pour le lycée Vaillant-Couturier, dit Tom, on habite à trois cents mètres.”
A huit heures douze, donc, le professeur Pierre-Alain de Brouille, physicien mondialement connu était encore …(7)… .
A huit heures quarante-quatre, il passait devant la caméra numéro trois du sous-sol C du parking …(8)… il garait sa voiture.
La borne …(9)… l’introduction de sa carte d’abonné à quarqnte-neuf.
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Cinquante-deux minutes …(10)… , le badge magnétique* lui donnant accès aux laboratoires du Centre international de recherche tecnologique avait adressé les coordonées de la puce** au poste de sécurité P7.
Le problème pour la police commençait à neuf heures trente-sept, heure exacte …(11)… le professeur de Brouille avait allumé son ordinateur. Après cela, plus rien.
Vers midi, on …(12)… où il était, ses collègues ne l’avaient pas trouvé en partant déjeuner.
A quatorze heures, le rendez-vous de de Brouille était arrivé: un industriel en costume gris-cravate noire, à qui on n’avait pas su …(13)… dire.
*dispositif d’identité magnétique permettant l’accès à certain lieux.
**plaquette sur laquelle est gravé un microprocesseur.
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On était fort …(14)… . Vers dix-sept heures, Tom avait …(15)… son père, comme d’habitude, en rentrant du lycée. Il était inquiété …(16)… son absence. Vers dix-neuf heures, on s’était …(17)… alarmé. Vers dix-neuf heures trente, la direction des laboratoires avait, à contrecoeur, …(18)… la police. Le premier dépêché …(19)… lieux fut le lieutenant Archambault de l’antenne de police de Massy-Palaiseau. Une fois …(20)… , Archambault avait tout de suit déchanté. Il avait bien interrogé …(21)… sur les travaux menés par de Brouille. Mais les explications des chercheures, les tubes et les generateurs tout cela …(22)… dépassait de beaucoup. Le peu qu’il parvenait à comprendre n’etait pas …(23)… pour dresser un rapport complet à ses supérieurs. De retour au commissariat central, le lieutenant avait juste pu concéder: “Chef, si c’est un enlèvement …(24)… est mal.” Mal, parce qu’il fallait d’abord comprendre …(25)… faisait de Brouille dans ce laboratoire pour mener une enquête sérieuse.
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Trois jours plus tard, l’enquête n’avait pas avancé d’un pouce, personne ne comprenait …(26)… aux travaux de de Brouille et encore moins aux raison de sa disparition. “ Il …(27)… faut Caumartin”, avait décrété le chef du commissariat central. Caumartin était …(28)… flic peu ordinaire. …(29)… des policiers moyens il rédigait des articles sientifiques et connaissait le fonctionnement des appareils modernes.
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Caumartin arriva au laboratoire, s’installa dans le bureau du professeur de Brouille et s’empressa …(30)… ouvrir tous les tiroirs. Quand l’un résistait, il glissait dans la fente un petit outil métallique …(31)… ouvrait la serrure en un instant. Dans le premier tiroir, il trouva, entre …(32)… choses, le plan d’une voiture. Le deuxième tiroir …(33)… quelques crayons, une agrafeuse, sept CD-Rom. Caumartin …(34.1)… à fermer le dernier tiroir quand Cabourg (le directeur du laboratoire) …(34.2)… dans le bureau, suivi de Cheng Du, l’étudiant de Pierre-Alain de Brouille.
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“ …(35)… que faites-vous? “ s’écria Cabourg. “ C’est clair, je crois: je …(36)… . Ça vous gêne?” “Mais, vous n’avez pas …(37)… droit…” murmura Cabourg, embarassé. “ Ah …(38)… , j’ai parfaitement le droit”, rétorqua Caumartin. “ Mais les travaux sont couverts par des secrets industriels, on ne peut pas vous …(39)… voir cela sans autorisation.” “ J’ai toutes les autorisations nécessaires, j’ai …(40)… “, ricana Caumartin en agitant sous le nez de Cabourg des papiers froissés pliés en quatre.
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